Je m'appelle Corinne, j'ai 46 ans, je vis avec mon mari et mes deux enfants en région parisienne. Je tiens à vous offrir mon témoignage et à remercier vivement, sincèrement, Jean-Marie Magnien grâce aux conseils duquel j'ai retrouvé une meilleure santé.
Les premiers symptômes dès l'enfance
D'aussi loin que je me souvienne, j’ai souffert de douleurs abdominales, de constipations sévères, d'un eczéma localisé sur le haut du bras et de rhumes chroniques, même en été...
À l'adolescence, dès la survenue des règles, j'ai des céphalées violentes qui se transforment en migraines avec le temps ainsi que des douleurs dans le bas-ventre assez violentes pour me donner la nausée et parfois perdre connaissance. Depuis l'âge de 12 ans, soit depuis 34 ans, je prends une fois par mois des anti-inflammatoires et des anti-migraineux pour rendre supportable cette période. Les règles sont très abondantes et me fatiguent en conséquence.
Ça continue et ça empire à l'âge adulte
J'ai régulièrement des cystites suivies de mycoses au rythme effréné de 5 à 6 par an, sur lesquelles les traitements préventifs restent inefficaces. Mon médecin me prescrit donc aussi souvent que nécessaire des antibiotiques, des antimycosiques et des antispasmodiques pour endiguer les crises. Suivant le même rythme j'ai des torticolis qui me bloquent les trapèzes au point qu'il m'est impossible de prendre le volant, la douleur ne me permet pas d'avoir un sommeil réparateur malgré les relaxants et anti-inflammatoires prescrits, seules des séances chez l'ostéopathe me soulagent (pas que le dos, le porte-monnaie aussi...).
La fatigue aidant, un herpès labial apparaît, là encore, les traitements de fond sont sans effet,3 tubes d'antiviral sont nécessaires chaque année pour venir à bout de ce bouton extrêmement contagieux (pas de bisous, même aux enfants) et douloureux.
Mais ce n'est pas tout : des remontées gastriques acides m'obligent à prendre un anti-acide quotidiennement. Et depuis la naissance de mon premier enfant des crises d'hémorroïdes se manifestent au rythme d'au moins 3 par an.
Le syndrome de trop
Bref, ma santé est loin d'être brillante et je prends des médicaments en permanence, la liste s'allongeant avec l'apparition de nouvelles pathologies.
En 2007, je suis hospitalisée deux mois pour une grave dépression, à la liste de médicaments précédente s'ajoutent donc les antidépresseurs et les somnifères.
En 2009, mes poignets deviennent assez douloureux pour me décider à consulter un rhumatologue qui, après un électromyogramme, diagnostique un syndrome du canal carpien au stade chirurgical (!). Les anti-inflammatoires locaux ne me sont d'aucun secours, seules des injections de cortisone pourraient me soulager en attendant l'intervention. Là, la moutarde me monte au nez : un traitement de plus et une intervention chirurgicale en prime ? Je dis STOP, je ne fais ni les injections et oublie l'opération, je m'achète un ustensile de cuisine très pratique pour ouvrir les boîtes de conserves et pour le reste (repassage, aspirateur, conduite, brushing...), je fais avec...J'en ai marre de prendre des médicaments, merci les effets secondaires. Seulement si je ne fais rien, la chaise roulante m'attend à plus au moins brève échéance. Cela ne m'enchante pas vraiment pour ne pas dire que ça me terrorise.
Adoption du régime Seignalet
J'ai depuis le mois d'avril 2012 les coordonnées de Mr Magnien dans mon portefeuille. C’est le moment de le contacter, il est ma seule issue pour échapper à l'allopathie et sa batterie d'effets secondaires. Notre premier entretien pose les bases de la diététique sans gluten, sans laitages avec complémentation en magnésium, vitamines, antioxydants, calcium et huiles équilibrées en oméga-6 et 3, sans oublier la cuisson douce. Je suis super motivée, je commence à pratiquer les conseils de J-M Magnien le 7 juillet et les respecte à la lettre. Je ne me permet aucun écart, ce n'est pas difficile lorsque la motivation est là, et je suis extrêmement motivée.
Les 5 premières semaines sont difficiles, avec tout à la fois : migraines, herpès, démangeaisons sur tout le corps, crises d'hémorroïdes et en alternance de constipation et de franches diarrhées... rien de réjouissant, mais je sais que c'est temporaire. Mr Magnien m'a prévenu, je tiens bon. En effet, 5 semaines après avoir commencé à suivre cette diététique, tous les symptômes qui s'étaient activés en même temps se « désactivent » les uns après les autres et un coin de ciel bleu s'ouvre enfin derrière les nuages. L'eczéma a complètement disparu depuis fin août, plus de brûlures d'estomac ni de remontées gastriques, plus de constipation ni de douleurs abdominales, je me sens bien, à tel point que je diminue la dose d'antidépresseur (Anafranil) pour l’arrêter totalement fin septembre.
Dans le même temps j'arrête les somnifères et je dors comme un bébé (deux tentatives de diminution des doses en 2009 et 2010 m'avaient fait rechuter). Le syndrome du canal carpien ne s'est pas réveillé depuis le mois de juin.
Depuis le mois de décembre je ne souffre plus de migraines avant et pendant mes règles et les douleurs dans le bas-ventre liées à cette période ont disparu, le flux est régularisé passant du stade hémorragique à normal. Depuis la désagréable expérience du « décrassage», pas d'herpès, ni de mycoses, ni de cystite, ni de maux de gorge, ni rhume, ni sinusite, ni cervicales bloquées.
Le 25 janvier 2013 après sept mois de diététique suivie à la lettre, j'ai mis à la poubelle avec un plaisir non dissimulé un sac de 30 litres de médicaments dont je vous ai énuméré la longue liste. J'ai tourné une page de ma vie... Cela peut vous paraître choquant, mais pourquoi garder des médicaments dont je n'ai plus besoin ?
Aujourd'hui
Je continue les séances de kiné 2 fois par semaine. Ma démarche est normale et je n'ai plus de perte de l'équilibre que de temps en temps. Je marche au moins 30 minutes chaque jour et peux faire mes courses à pied (j'ai cette chance d'avoir des commerces près de chez moi), je ne peux pas encore courir. Les fourmillements sont là mais d'une si faible intensité qu'ils ne me gênent plus la plupart du temps, Ils se sont réactivés violemment pendant les fêtes de Noël mais cet épisode n'a duré que 3 jours.Il m'arrive encore d'avoir de réels « coups de pompe », je dors alors alors quelques heures pour récupérer (en octobre encore il me fallait 3 heures de repos après avoir étendu une lessive de linge et une semaine pour récupérer d'une soirée chez des amis).
7 mois se sont écoulés et je n'ai pas fait de nouvelle poussée...
Voilà, je n'ai rien d'autre à ajouter pour le moment si ce n'est un grand merci à Mr Magnien qui a été le meilleur guide pour améliorer ma santé depuis que je suis née...
PS : constatant la nette amélioration de ma santé, ma maman pratique la diététique Seignalet depuis quelques mois et depuis quelques semaines ses douleurs rhumatismales se sont éteintes...no comment !